Si l’on cherche un moyen efficace de procéder à un transfert de chaleur sur son lieu de production, sans doute faut-il posséder un échangeur thermique.
Il en existe beaucoup sur le marché. Pourquoi plébisciter la marque SWEP et comment optimiser la durée de vie de son échangeur thermique à plaques brasées ?
Ce qu’il faut retenir sur la marque SWEP
Quand on a besoin d’une machine spécifique, il est normal de se tourner vers les marques qui sont reconnues dans ce domaine. En termes d’électroménager, par exemple, certaines d’entre elles viennent spontanément en tête, parce que présentes sur le marché depuis des décennies et reconnues pour la qualité de leurs produits.
Même si les échangeurs thermiques sont bien entendu réservés à certaines entreprises et industries, la question se pose également en ces termes, au moment de choisir la meilleure machine.
Certaines marques sortent alors du lot et SWEP est assurément celle qui va se démarquer le plus, tout simplement parce qu’elle est leader dans ce domaine très précis et ce, au niveau mondial.
Ces machines sont connues pour être efficaces ; parce qu’élaborées en prenant en compte les besoins caractéristiques de chaque entité, grâce à différents calculs (capacité de chaleur, type de process, fréquence d’utilisation…) que SWEP effectue grâce à un logiciel de haute qualité et précis.
Les professionnels apprécient également que les cycles de vie représentent un coût relativement raisonnable comparés à d’autres marques. Cela ne les empêchera pas, pourtant, de devoir prêter une attention particulière à leurs échangeurs de chaleur à plaques brasées s’ils veulent les conserver durablement.
Comment entretenir son matériel SWEP dans les meilleures conditions ?
Un échangeur à plaques brasées (il peut en avoir d’autres avec des serpentins, par exemple) se caractérise par la présence de plaques qui communiquent entre elles pour échanger du liquide ou du gaz et en modifier la température.
Les plaques sont équipées de joints qui sont soumis à longueur de journée à des phénomènes de dilation ou de rétractation.
Même un particulier qui utilise un robinet dans sa salle de bains par exemple, sait qu’un joint qui est soumis à ces écarts de température va devoir être changé parce qu’il n’assurera plus la même étanchéité : il risque d’y avoir une fuite.
Cela sera la même chose pour un échangeur thermique dont les joints sont devenus défectueux parce que vétustes et usés. Tout comme il faudra, moins régulièrement, changer certaines plaques.
Il est indispensable de prendre des joints qui sont compatibles et si l’on possède un échangeur thermique à plaques brasées de la marque SWEP, prendre des joints d’une autre marque peut s’avérer contreproductif car ils ne pourront pas servir sur la machine.
Heureusement, on peut trouver ce type de consommables sur des sites spécialisés, même s’il s’agit de renseigner consciencieusement la marque, le modèle et parfois l’année de fabrication.
Enfin, il reste qu’outre le remplacement des pièces, cela n’empêche pas la nécessité d’entretenir son échangeur thermique et donc de le nettoyer régulièrement.
Une marque recommandera un dépoussiérage régulier, ce qui n’est pas toujours fait. Or, dans un environnement industriel, la poussière aura tendance à s’accumuler sur la graisse qui enrobe les pièces métalliques et ces dernières vont s’encrasser. Le fonctionnement peut se faire moins bien et la production peut être impactée.
Un professionnel du génie climatique peut s’occuper du nettoyage de l’échangeur thermique. Pour cela, généralement, après l’avoir débranché, il va le démonter et nettoyer chaque pièce.
Selon le niveau d’encrassement et le type de machines, il peut utiliser différentes méthodes.
Cela peut aller du nettoyage à haute pression avec de l’eau, mais aussi de la vapeur ou encore en s’aidant de produits chimiques ; ce qui nécessitera un rinçage soigné ; afin le remontage et la remise en route de la machine.
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